La Fondation d’EUSICE : Une histoire en 6 chapitres !

L’ORIGINE

CHAPITRE 1

Je m’appelle Judith et quand j’étais petite, je vivais dans une cabane en bois au fond de la forêt.

Il y a des événements de notre enfance qui modifie parfois le chemin de toute notre vie.

À Madagascar, comme dans certains des pays les plus pauvres du monde, une maladie grave pour un membre de votre famille signifie la vente de la totalité de vos biens. Lorsque ma mère est tombée malade, elle a dû aller à l’hôpital et pour payer son traitement, nous avons dû quitter notre maison.

J’avais 5 ans et c’est à ce moment-là qu’à commencer une grande aventure pour la petite fille que j’étais.

Entourée de 7 frères et sœurs et sans toit au-dessus de sa tête, notre famille a entamé une longue exode en charrette. Nous nous sommes établis dans la petite clairière d’une forêt sauvage, à la croisées des chemins entre des arbres fruitiers et une petite rivière.

Après un si long et pénible voyage, tout le monde a été soulagé.

En me réveillant chaque matin, j’allais chercher de l’eau et cueillir à manger. Je parcourais le jardin d’Eden qui m’entourait et en quelques grimpettes sur un arbre fruitier, je récupérerais une mangue juteuse ou un avocat plus gros que ma tête.

Ensuite, libre comme un jeune enfant peut l’être, j’allais où je le souhaitais et je passais mon temps à jouer avec ce qui m’entourait.

Pour échapper à la chaleur, je me retrouvais à jouer régulièrement dans la rivière. J’inventais des histoires plus extraordinaires les unes que les autres.

Je faisais de simples bouts de bois les princes et les princesses, qui servaient de support à mes histoires. Mon petit truc à moi, c’était de leur attacher des cailloux en guise de couronne.

J’en trouvais parfois des colorés ou des légèrement brillants et polis par le cours d’eau. C’est comme cela que je me suis retrouvé en compagnie de mes premiers galets.

À cette époque, ma vie était simple et heureuse.

CHAPITRE 2

Mon héritage familial : apprécier à aimer ce & ceux qui m’entourent.

Après avoir construit notre cabane, mon père a enchaîné les petits boulots dans la ville la plus proche : certains jours, il faisait plusieurs heures de marches pour aller travailler dans les champs, et d’autres il allait aider un chef d’atelier dans une conserverie. En parallèle, il gagnait parfois un peu d’argent en transportant des céréales avec notre charrette ou en aidant à construire une maison.

L’air frais de la nature avait fait beaucoup de bien à ma mère. Un temps du moins, mais il lui fallait toujours des soins. Et la plupart de mes frères et sœurs avaient déjà l’âge d’aller à l’école.

Le constat était sans appel, après plus d’un an dans la forêt : nous devions déménager et rejoindre la civilisation.

Avec ses nouvelles économies, mon père a acheté une petite pièce en ville, juste à côté de l’atelier lapidaire de mon grand-père. Il l’a rejoint et c’est comme ça que j’ai grandis, entourée par ma famille et par les pierres.

CHAPITRE 3

18 ans plus tard, je deviens géologue en suivant la voie tracée par mon grand-père.

Toute ma vie, j’ai été très proche de ma famille et j’ai naturellement injecté leur passion et leur énergie dans mes études.

Au fil de ces années, j’ai vu mon père se lier d’amitié avec les meilleurs lapidaires de la région.

Il avait à cœur de réaliser des pierres de plus en plus sublimées. Il essayait toutes les nouvelles idées, allant jusqu’à changer toute sa méthode de travail pour obtenir un finition ou un polissage légèrement meilleur que la fois précédente.

Pour lui, donner ce sens à son travail de lapidaire, c’était donner un sens à sa vie.

Pourtant, durant toutes ces années, j’ai vu ma famille être confronté à plusieurs obstacles qui les empêchaient de recevoir un prix juste pour leur travail.

Les acheteurs locaux n’étaient pas fiables.

Ils ne payaient pas ou renégociaient les prix convenus à la fin de leur commande. Les acheteurs profitaient de leur position et des contextes de crises successifs pour imposer leurs conditions.

Ils tiraient les prix vers le bas et menaçaient constamment de ne plus revenir si on ne cédait pas (pas facile quand on vit au jour le jour pendant une crise alimentaire).

D’autres encore imposaient des cadences et des délais intenables sans tenir compte des dommages que cela causerait aux pierres. Et encore aujourd’hui, je pense que c’est cela qui affectait le plus mon père, lui et son réel amour du travail bien fait.

En bref, l’instabilité des acheteurs était à l’image de celle du pays.

Mais grâce à cette expérience, j’ai appris que pour pouvoir s’épanouir dans son travail, il valait mieux faire affaires avec des gens qui partagent les mêmes valeurs que vous.

Après mes études, j’ai cherché à comprendre le fonctionnement du commerce de ces acheteurs.

En avançant dans mon enquête, j’ai découvert que les intermédiaires s’accumulaient, réduisant toujours plus la marge qui allait à l’atelier.

Et je me suis promise que si j’avais l’occasion de changer les choses un jour pour mon père, je le ferai.

CHAPITRE 4

L’heure de la révolution a sonné quand j’ai découvert que j’étais une femme pleine de ressources cachées.

Jeune mariée, j’ai eu la chance de pouvoir venir visiter la France et j’ai été choquée par les pierres sans âme, ternes et parfois fausses qui étaient vendues sur les marchés.

De belles rencontres autour de la lithothérapie m’ont vite fait prendre conscience que la vie m’offrait l’une de ces rares occasions de pouvoir faire la différence et de changer les choses.

Je pouvais aider ma famille en aidant les autres à mieux vivre en leur proposant les bons outils.

J’avais trouvé ma voie et j’ai fait la seule chose logique qu’il y avait à faire : devenir l’acteur fiable qu’il manquait à la fois aux artisans et aux amoureux des pierres.

Je suis devenue Eusice.

LA MARQUE

CHAPITRE 5

Comment j’ai proposé un concept puissant en m’appuyant sur les valeurs qui m’animent…

En grec ancien, Eusice signifie « bon grain » . Cette traduction est le reflet de ma mentalité : donner accès aux bons outils pour que chacun puisse planter sa graine de bonheur.

En tant qu’Eusice, j’avais plusieurs avantages.

Je pouvais apporter chez vous des pierres naturelles de qualité supérieure issues d’un artisanat traditionnel.

Ma chaîne de production commençait aux mines et aux carrières où je vais acheter nos roches brutes directement aux producteurs.

À partir de ce moment et jusqu’à la livraison chez vous, votre pierre est entre mes mains. Cela me permet de garantir une authenticité, une qualité et une éthique irréprochable pour vous et de garantir un prix juste pour les artisans et les mineurs.

Aujourd’hui, je suis fière de mes valeurs et elles transparaissent dans mes choix.

Par exemple, nos emballages sont tous recyclés et recyclables entre 50% à 100%. Les textiles que nous avons choisis d’utiliser, en particulier pour nos pochettes, sont fait-main par un atelier d’artisans couturiers partenaire.

Nous sommes devenus une entreprise passionnée par les gens et leur vie quotidienne.

Eusice, c’est plus que des pierres ou de l’artisanat ; c’est une philosophie dont la mission consiste à proposer les meilleurs outils que vous avanciez sur le chemin du bonheur.

LA PROMESSE

CHAPITRE 6

Pour bâtir une forteresse de bonheur, il faut commencer par poser la première pierre.

Je suis une personne qui aime expérimenter de nouvelles solutions pour faire face plus efficacement à ma vie quotidienne.

Peu importe la casquette que nous choisissons d’endosser : ami, parent, travailleur, voyageur, etc, je pense qu’un être humain devra toujours faire face à de petites épreuves quotidiennes.

Ces épreuves peuvent prendre des formes multiples : pressions, efforts, responsabilités, engagements, difficultés…

Ma conviction profonde est qu’une personne mérite d’être toutes les personnes qu’elles désirent être.

Et malgré tout, au final, elle est toujours seule avec elle-même à l’intérieur.

Je suis persuadée que rien ne l’oblige à avoir à lutter démunie ou à errer seule dans le noir face à ces épreuves.

C’est pourquoi j’ai choisi de proposer des produits naturels qui peuvent parler à nos différents sens, canaliser notre stress, améliorer notre environnement, apaiser notre cerveau …

Ma promesse ? Je vais vous aider à crier avec moi « J’aime vivre avec moi-même » !

Judith